Dans le cas contraire, le conducteur s’expose à des sanctions pénales. Profitez de notre dossier consacré à l’assurance moto et scooter pour ne plus rien ignorer sur le sujet.
Qu’est-ce que l’assurance moto ou assurance scooter ?
Comme pour la voiture, l’assurance moto ou l’assurance scooter est une assurance qui permet de protéger son bénéficiaire en cas d’accident de la route. L’assurance deux roues obligatoire traditionnelle se résume à une assurance de responsabilité civile. Elle permet la prise en charge, par l’assureur, des frais liés à l’indemnisation des dommages causés à un ou plusieurs tiers. Parmi les dommages les plus courants, on peut citer les blessures causées à un piéton, les dégâts matériels causés à un autre véhicule, etc.
À noter que l’assurance 2 roues de base se limite, la plupart du temps, à cette seule prise en charge. Pour être protégé de façon optimale, notamment en ce qui concerne l’indemnisation des dommages subis par soi-même (dégâts sur la moto ou sur le scooter, frais médicaux en cas d’hospitalisation, etc.), il est souvent nécessaire de souscrire des garanties complémentaires.
Pensez donc à comparer les différentes offres d’assurance motard ou assurance cyclomoteur avant de faire votre choix.
Quels véhicules sont concernés par l’assurance moto ou assurance scooter ?
Tous les véhicules terrestres à moteur appartenant à la catégorie des deux-roues sont concernés par cette obligation d’assurance des 2 roues motorisées. On trouve aujourd’hui sur le marché des assurances moto, des assurances scooter, mais aussi des assurances pour les mobylettes, etc. Les véhicules à trois roues (scooters et moto) comme le Piaggio 500, l’un des modèles phares de sa catégorie, doivent, eux aussi, faire l’objet d’un contrat d’assurance. À noter enfin que le quad, en plein développement ces dernières années, est lui aussi soumis à cette obligation d’assurance.
Que risque-t-on à circuler sans assurance moto ou assurance scooter ?
Le non-respect de l’obligation d’assurance moto ou assurance scooter est puni par la loi française. Les contrevenants s’exposent ainsi d’abord à une amende. Dans certaines situations, les représentants de la loi peuvent ensuite demander la suspension du permis de conduire (notamment en cas de récidive). La mise en fourrière du véhicule peut également être décidée lorsque le deux-roues ne présente pas de façon claire et visible sa petite vignette d’assurance.